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Photo du rédacteurLydia Truglio Beaumont

Most, République Tchèque, quelle aventure !


Excitée comme un puce d'aller rouler, comme d'habitude vous me direz, j'ai réalisé de nombreuses choses à mon égard sur ma santé et j'ai connu d'énormes déboires avec ma moto.


Entre le problème de ma chaîne à cause du pignon en 520 et la couronne en 530, le train arrière très instable, les entretoises mortes, et je vous en passe et des meilleurs, j'ai fais du mieux que j'ai pu durant ma venue à Most.


Malgré tout, j'ai tout de même réussi à me qualifier auprès de la plus grande pilote au Monde, à savoir Nina Prinz !



D'ailleurs, elle est venue m'offrir un "doudou" trop mimi afin de m'encourager à persévérer comme elle me connaissait déjà d'une course ensemble au Qatar.


Ensuite étant monté en solo comme d'habitude, j'ai éternellement jonglé entre faire la mécanique de ma belle, essayer de piloter, essayer d'apprendre le tracé, essayer de connaître ce circuit, changer les pneus selon la pluie ou non, perdre mon bouchon d'essence à cause de ma mémoire encore bien trop défaillante et ainsi de suite. Bref, je n'ai pas eu une minute a moi, hormis le soir !


En plus, je vous avoue clairement que c'est loin d'être évident de piloter une moto avec une épaule droite déboitée, un poignet gauche pas encore totalement consolidé de sa fracture, une vision définitivement en berne à droite et pas de mémoire du tracé. Mais bon ainsi va la vie, et cela me tenait à cœur de monter découvrir ce circuit et être très loin du bol d'or.


En tout cas, je tiens encore à dire merci à Mika, Nico et Jean Luc alias "Papounet" de s'être si bien occupé de ma Pepette d'amour et de m'avoir surveillé durant mes roulages.


Quoi qu'il en soit, je suis rentrée à la maison la tête pleines de leçons ! Et pleine de joie d'avoir rouler de nouveau avec mon idole Nina Prinz.


Toutefois, il est clair que désormais, je ne partirai plus dans de telles conditions et avec une moto défaillante et dangereuse à souhait.


Ma santé, mon corps, ma tête et ma vison ne me le permettent plus actuellement de toute manière malgré toute ma bonne volonté.


Bilan


Ma vie est une ruine depuis ma réanimation tout comme moi d'ailleurs en tant que pilote moto en chocolat noir. Toutefois, je continue de me reconstruire du mieux que je le peux comme je le peux car vous l'avez compris je crois, la moto c'est ma vie, elle est mon oxygène, et je n'arrive pas à me passer d'elle malgré ma drôle de chute à l'Africa Eco Race

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